Transport et logistique : l’Arabie saoudite et le Vietnam, hubs montants dans la cartographie mondiale
Transport et logistique : l’Arabie saoudite et le Vietnam, hubs montants dans la cartographie mondiale
25/11/2025
Les perturbations du commerce international depuis la pandémie de Covid-19, alimentées par les conflits armés et les tensions géopolitiques, ont tracé de nouvelles routes pour les échanges commerciaux et fait émerger des hubs logistiques. Une récente étude d’Allianz Trade fait le point sur la nouvelle cartographie mondiale du transport de marchandises.
Crise sanitaire, guerre en Ukraine, attaques en mer Rouge perturbant le canal de Suez, guerre commerciale, régionalisation…Cet environnement aussi chaotique qu’incertain a contraint ces dernières années chargeurs et transporteurs à trouver des axes alternatifs.
Ainsi, selon Allianz Trade, le réacheminement des importations américaines depuis la Chine, l’anticipation des expéditions avant la hausse des droits de douane aux États-Unis ou encore la diversification commerciale ont généré 1,3 point de pourcentage de la croissance de 2 % des échanges mondiaux attendue cette année (avant de décélérer à + 0,6 % en 2026 et + 1,8 % en 2027).
Pour autant, plus de la moitié du volume des marchandises échangées dans le monde continuent d’emprunter les routes traditionnelles : le canal de Suez voit passer 12 % du commerce international et le détroit de Malacca 40 %. Et 20 % des expéditions mondiales de GNL et autant de celles de pétrole passent par le détroit d’Ormuz.
Les perturbations du commerce international depuis la pandémie de Covid-19, alimentées par les conflits armés et les tensions géopolitiques, ont tracé de nouvelles routes pour les échanges commerciaux et fait émerger des hubs logistiques. Une récente étude d’Allianz Trade fait le point sur la nouvelle cartographie mondiale du transport de marchandises.
Crise sanitaire, guerre en Ukraine, attaques en mer Rouge perturbant le canal de Suez, guerre commerciale, régionalisation…Cet environnement aussi chaotique qu’incertain a contraint ces dernières années chargeurs et transporteurs à trouver des axes alternatifs.
Ainsi, selon Allianz Trade, le réacheminement des importations américaines depuis la Chine, l’anticipation des expéditions avant la hausse des droits de douane aux États-Unis ou encore la diversification commerciale ont généré 1,3 point de pourcentage de la croissance de 2 % des échanges mondiaux attendue cette année (avant de décélérer à + 0,6 % en 2026 et + 1,8 % en 2027).
Pour autant, plus de la moitié du volume des marchandises échangées dans le monde continuent d’emprunter les routes traditionnelles : le canal de Suez voit passer 12 % du commerce international et le détroit de Malacca 40 %. Et 20 % des expéditions mondiales de GNL et autant de celles de pétrole passent par le détroit d’Ormuz.